Les « maléfiques » ne méritent vraiment leur nom que lorsqu’elles forment de « mauvais aspects », ce qui fait ressortir ce qu’on appelait les défauts (brutalité, avarice, mensonge) désignés pudiquement maintenant comme difficultés d’adaptation du comportement.
Mais par rapport à une conception de la vie qui serait toute de douceur, de compréhension et de fraternité humaine, avec pour contrepartie l’indolence et le laisser-aller, il est clair que Mars, Saturne, Uranus et Pluton ne peuvent que jouer un rôle perturbateur dans un tel idéal de vie, en y apportant des crises, de l’égocentrisme, de la brutalité. Bien que de nature opposée, Neptune, pourtant pacifique, devient « maléfique » lorsqu’il entraîne au scandale, à l’asociabilité, à l’irresponsabilité, à l’univers de la drogue.