2-L'astrologie science des rythmes
Posté : mer. 15 juin 2016 19:34
L'homme des premiers âges a d'abord identifié la notion du temps, lié au retour éternel du jour et de la nuit, puis celle des saisons. Il en est arrivé à la notion de calendrier. Dés l'âge de la pierre polie, un lien mental s'était créé entre les concepts de vie, de mort et la renaissance des plantes nourricières, le rythme quotidien et annuel du soleil et le cycle de la vie humaine. Vers 2500 ans avant notre ère, les prêtres égyptiens fixèrent la durée de l'année à 365 jours 1/4, et les Babyloniens divisèrent l'année en 12 mois, correspondant environ à 12 révolutions de la Lune autour de la Terre. Notre calendrier est donc un calendrier soli-lunaire, solidement lié aux rythmes naturels et c'est pourquoi toutes les tentatives pour le moderniser ont invariablement échoué. L'homme de la proto-histoire ne faisait qu'un avec la vie universelle, dans un état de dépendance totale. Après le temps, l'espace lui-même fut organisé en fonction du rythme cosmique : c'est en rapport avec les quatre points cardinaux que sont bâtis les temples, ces points étant les 4 étapes du Soleil au cours de la journée. Peu à peu on admet l'idée d'une subtile correspondance entre l'univers astral, conçu comme un grand organisme vivant ou "macrocosme" et l'individu, qui en est la réplique, ou "microcosme". Ainsi naquirent le symbolisme solaire, englobant l'idée de vie et de résurrection, de toute puissance, et le symbolisme lunaire, lié à la nuit, à la fécondité, au rêve et à la divination.
La science officielle depuis le début du vingtième siècle a confirmé que dans la nature, à tous les niveaux, tout n'est que pulsation, au cœur des atomes comme dans la vie des étoiles. Notre organisme suit le rythme de la journée, lui-même lié au rythme Terre-Soleil et aux variations de l'éclairement : la cadence des diverses fonctions organiques au cours de la journée, comme si elles étaient dirigées par une "horloge biologique interne" liée à notre système solaire. Les rythmes caractéristiques de l'être humain sont ceux de la respiration et de la circulation du sang, qui sont dans le rapport de 4 à 1. Pour renouveler complètement l'air des poumons il faut 7 respirations pendant lesquelles le cœur bat 28 fois, d'où la relation 28/7 = 4/1, qui est également le nombre de jours du mois (cycle lunaire). Le nombre de respirations par 24 heures est de 18 x 60 x 24 = 25920, nombre de la grande année précessionnelle, dont le jour est de 25920 : 360 = 72 ans, nombre du rythme cardiaque (données publiées par le Docteur Lavezzari, cité par R. Tocquet dans "cycles et rythmes"). Les organismes se comportent comme des résonateurs et accordent leurs rythmes particuliers aux grands rythmes planétaires. Éclatante confirmation de l'antique Table d’Émeraude : "ce qui est en haut est comme ce qui est en bas!"
La science officielle depuis le début du vingtième siècle a confirmé que dans la nature, à tous les niveaux, tout n'est que pulsation, au cœur des atomes comme dans la vie des étoiles. Notre organisme suit le rythme de la journée, lui-même lié au rythme Terre-Soleil et aux variations de l'éclairement : la cadence des diverses fonctions organiques au cours de la journée, comme si elles étaient dirigées par une "horloge biologique interne" liée à notre système solaire. Les rythmes caractéristiques de l'être humain sont ceux de la respiration et de la circulation du sang, qui sont dans le rapport de 4 à 1. Pour renouveler complètement l'air des poumons il faut 7 respirations pendant lesquelles le cœur bat 28 fois, d'où la relation 28/7 = 4/1, qui est également le nombre de jours du mois (cycle lunaire). Le nombre de respirations par 24 heures est de 18 x 60 x 24 = 25920, nombre de la grande année précessionnelle, dont le jour est de 25920 : 360 = 72 ans, nombre du rythme cardiaque (données publiées par le Docteur Lavezzari, cité par R. Tocquet dans "cycles et rythmes"). Les organismes se comportent comme des résonateurs et accordent leurs rythmes particuliers aux grands rythmes planétaires. Éclatante confirmation de l'antique Table d’Émeraude : "ce qui est en haut est comme ce qui est en bas!"