Or, force est bien de reconnaitre que, en dehors de l'indiscutable influence du Soleil, et sans doute aussi de la Lune (cette dernière notament sur les marées), il a été jusqu'à présent impossible de prouver qu'il existe effectivement un tel rayonnement. Néanmoins la science a pu étudier un certain nombre d'influences émanant des corps célestes, et dont l'action apporte de l'eau au moulin des astrologues.
Les taches solaires : Outre les ondes lumineuses, le Soleil émet une très grande quantité de rayonnements sur les longueurs d'onde les plus variées. Le bombardement qu'il nous inflige varie en fonction de gigantesques taches, qui apparaissent à sa surface, s'accentuent puis disparaissent, en suivant une périodicité d'environ 11 ans. Or cette durée correspond au cycle de Jupiter, la plus grosse planète de notre système, et les astrologues pensent que ce n'est pas une coïncidence. Les effets des taches solaires se manifestent tout d'abord par un plus grand nombre des aurores boréales, des éruptions volcaniques, des secousses sismiques. Sur l'être humain, on constate notamment une accentuation des accidents cardiaques (communication du Docteur Poumailloux à l'Académie de Médecine et constatations faites en Crimée) et des décès par tuberculose, ainsi que l'accroissement de l'activité de certains microbes et une fréquence plus grande des épidémies. Les rayons cosmiques : En 1926, on a découvert des rayons cosmiques, chargés d'une énergie souvent considérable. Ils semblent provenir de régions de l'espace beaucoup plus éloignées que le système solaire. Depuis quelques années, on a également constaté que Vénus, Mars, Jupiter et Saturne sont des radio-sources envoyant de puissantes ondes électromagnétiques, captées par les radio-télescopes. Leur étude n'en est alors qu'à ses débuts. Les planètes perturbent les ondes de radio. En 1951, un technicien de la radio américaine, J.H.Nelson, a constaté qu'outre les taches solaires, les communications radiophoniques subissent de fortes perturbations les jours où les planètes forment par rapport au Soleil certain aspects (0°, 90° et 180°). On peut ainsi prévoir les jours de réceptions difficiles avec une exactitude de 93%! l'eau et le sang humain soumis aux astres! En étudiant l'eau utilisée pour le détartrage des chaudières, le professeur Piccardi, de l'université de Florence, a constaté que cette eau ne se comporte pas toujours de la même façon, refusant parfois de geler en dessous de 0°C. De son coté, le gynécologue japonnais Takata a vérifié depuis 1938 que le sérum sanguin avait aussi un comportement très capricieux. En 1960 le professeur Schulz (URSS) a établis un rapport certain entre le nombre de globules blancs chez les sujets bien portants et le nombre des taches solaires. Ces trois effets ont une même cause : les variations du magnétisme cosmique. En somme, il est maintenant officiellement établi que de nombreux processus naturels et biologiques sont susceptibles de variations en fonction du moment où ils se produisent. Cette intervention reconnue du facteur "temps" ne peut que réjouir les astrologues.